La recherche scientifique rapproche shiatsu et anatomie moderne

Des études récentes suggèrent que les méridiens et points d’acupuncture utilisés en shiatsu pourraient correspondre au réseau des fascias — ces fines membranes qui enveloppent muscles, organes et nerfs.
Les chercheurs observent que ces tissus conjonctifs jouent un rôle essentiel dans la communication entre les différentes parties du corps, la perception et la régulation du tonus.

Les travaux publiés depuis 2010 (PMID 21419357, PMC3092510) indiquent que la stimulation de zones riches en fascia peut influencer la circulation des fluides, la proprioception et la détente musculaire. Cela rejoint la vision du shiatsu comme pratique agissant à la fois sur la structure et sur l’énergie vitale.

https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC3092510/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21419357

Ainsi, le shiatsu apparaît non seulement comme une approche de bien-être, mais aussi comme une stimulation fine du réseau fascial, favorisant équilibre, mobilité et relâchement des tensions profondes.

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